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Encyclopédie de Diderot
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ENROLEMENT

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Écrit par : Auteur anonyme
Catégorie : Art militaire
S. m. (Art militaire) action de lever, d'engager, de prendre des hommes, pour servir dans les troupes de terre, ou dans les armées navales.

Les Romains faisaient leurs enrôlements avec beaucoup de précautions et de formalités. Il n'était pas permis à tous les citoyens de porter les armes ; et pour être enrôlé au service de la république, il fallait avoir certaines qualités dont on ne dispensait que dans des occasions importantes, et qui demandaient des secours prompts et extraordinaires.


Création : 1 Novembre 1755
Clics : 1080

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ECOUVILLON

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Écrit par : Guillaume Le Blond (Q)
Catégorie : Art militaire
S. m. (Art militaire) instrument qui sert à nettoyer l'âme ou l'interieur du canon. Il est composé d'une tête, masse ou boite de bois (car on lui donne tous ces noms), couverte d'une peau de mouton, montée sur un long bâton ou hampe. On s'en sert aussi pour rafraichir l'âme du canon, quand il a tiré. Voyez CANON et CHARGE. Voyez aussi Pl. VI. de l'Art milit. fig. 6. la figure de l'écouvillon.


Création : 1 Novembre 1755
Clics : 1551

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DRAPEAU

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Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
Catégorie : Art militaire
S. m. (Histoire et Art militaire) signe ou enseigne militaire, sous laquelle les soldats s'assemblent pour combattre, et pour les autres fonctions militaires. Voyez ENSEIGNE.

L'enseigne ou le drapeau chez les Romains, n'était d'abord qu'une botte de foin ; on le fit ensuite de drap, d'où vient peut-être, dit d'Ablancourt, le mot de drapeau. Dans les différents royaumes de l'Europe il est de taffetas, attaché à une espèce de lance ou de pique d'environ dix pieds de longueur. Le drapeau est beaucoup plus grand que l'étendard, qui n'a guère qu'un pied et demi carré (voyez ETENDARD) ; &, suivant le P. Daniel, on ne remarque cette différence que depuis Louis XII. Les drapeaux ne servent que dans l'infanterie, la cavalerie a des étendards. Ces drapeaux sont portés par des officiers appelés enseignes. Chaque compagnie avait autrefois son drapeau ou son enseigne, et l'on comptait alors les compagnies d'infanterie par enseignes : on disait, par exemple, qu'il y avait dix enseignes en garnison dans une place, pour dire qu'il y avait dix compagnies d'infanterie. Toutes les compagnies d'infanterie, excepté celles du régiment des gardes françaises et suisses, n'ont pas chacune un drapeau ; il y en avait trois par bataillon d'infanterie française avant la dernière paix d'Aix-la-Chapelle : on les a depuis réduits à deux.


Création : 1 Novembre 1755
Clics : 1652

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ESCADRON

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Écrit par : Louis de Cahusac (B)
Catégorie : Art militaire
S. m. (Art militaire) agmen equestre, turma equestris. Dans la première origine on disait agmen quadratum, d'où il est aisé de conclure que du mot italien quadro, les François ont fait celui de scadron, comme on disait il n'y a pas encore cent ans :

Aux scadrons ennemis on a Ve sa valeur

Peupler les monuments.

Racan, de l'Acad. Franç.

Ducange le fait venir de scara, mot de la basse latinité.

Bellatorum acies quas vulgari sermone scaras vocamus.

Hincmar, aux évêq. de Rheims, c. 3.


Création : 1 Novembre 1755
Clics : 1567

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EMBOLON

Détails
Écrit par : Guillaume Le Blond (Q)
Catégorie : Art militaire
(Art militaire) disposition de troupes chez les anciens, rangées sur peu de front et beaucoup de hauteur. Voyez COIN (Q)

Création : 1 Novembre 1755
Clics : 1257
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