- Détails
- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Physiologie
- Clics : 1780
- Détails
- Écrit par : Auteur anonyme
- Catégorie : Physiologie
- Clics : 1541
- Détails
- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Physiologie
- Clics : 1205
- Détails
- Écrit par : Auteur anonyme
- Catégorie : Physiologie
MORVE, s. f. (Marechal) maladie particulière aux chevaux.
Pour rendre plus intelligible ce que l'on Ve dire sur la morve, et sur les différents écoulements auxquels on a donné ce nom, il est à-propos de donner une description courte et précise du nez de l'animal et de ses dépendances.
- Clics : 3911
- Détails
- Écrit par : Auteur anonyme
- Catégorie : Physiologie
Les noyés meurent par le défaut d'air et de respiration ; il suit de-là que leur mort est prompte et vraisemblablement assez douce, parce que le sang qui s'amasse dans le cerveau, d'où il ne peut descendre dans les poumons, presse l'origine des nerfs, et éteint aussi-tôt le sentiment. Leur mort ressemble à celle de ceux qu'on étrangle avec une grande promptitude.
On a cru pendant longtemps que c'était à force d'avaler de l'eau que les noyés périssaient ; mais Becker, dans une dissertation intitulée de submersorum morte sine potu aquae, a le premier réfuté cette opinion par les faits. Il a ouvert deux hommes noyés, et ne leur a point trouvé d'eau dans l'estomac, les intestins, ni les poumons. Après Becker, MM. Littre, Sénac et autres, ont confirmé la même vérité par l'ouverture de cadavres de gens et d'animaux qui avaient été submergés.
- Clics : 2888