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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Littérature romaine
Ce spectacle ne s'introduisit point à Rome à la faveur de la grossiereté des cinq premiers siècles qui s'écoulèrent immédiatement après sa fondation : quand les deux Brutus donnèrent aux Romains le premier combat de gladiateurs qu'ils eussent Ve dans leur ville, les Romains étaient déjà civilisés ; mais loin que la politesse et la mollesse des siècles suivants aient dégouté ce peuple des spectacles barbares de l'amphithéâtre, au contraire elles les en rendirent encore plus épris. Nous tâcherons de découvrir les raisons de ce genre de plaisir, après avoir rassemblé sous un point de vue l'histoire des gladiateurs trop hérissée d'érudition, trop diffuse, et trop peu liée dans la plupart des ouvrages sur cette matière.
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- Écrit par : Auteur anonyme
- Catégorie : Littérature romaine
Les Romains avaient deux sortes de voitures portatives, dont les formes étaient différentes, et qui étaient différemment portées ; savoir, l'une par des mulets, on l'appelait basterna, et l'autre par des hommes, on la nommait lectica.
La basterne ou la litière proprement nommée selon nos usages, a été parfaitement décrite dans une ancienne épigramme que voici :
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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Littérature romaine
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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Littérature romaine
Romulus n'a pas été l'inventeur de cette fête, quoiqu'en dise Valere-Maxime ; ce fut Evandre qui l'établit en Italie, où il se retira soixante ans après la guerre de Troie. Comme Pan était la grande divinité de l'Arcadie, Evandre, natif d'Arcadie, fonda la fête des lupercales en l'honneur de cette divinité, dans l'endroit où il bâtit des maisons pour la colonie qu'il avait menée, c'est-à-dire sur le mont Palatin. Voilà le lieu qu'il choisit pour élever un temple au dieu Pan, ensuite il ordonna une fête solennelle qui se célébrait par des sacrifices offerts à ce dieu, et par des courses de gens nuds portant des fouets à la main dont ils frappaient par amusement ceux qu'ils rencontraient sur leur route. Nous apprenons ces détails d'un passage curieux de Justin, lib. XLIII. cap. j. In hujus (montis Palatini) radicibus templum Lycaeo, quem Graeci Pana, Romani Lupercum appelant, constituit Evander, Ipsum dei simulachrum nudum, caprinâ pelle amictum est, quo habitu, nunc Romae lupercalibus decurritur.
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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Littérature romaine
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