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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Gymnastique
Ensuite le mot ïatralipte, désigna un médecin, qui traitait les maladies par les frictions huileuses, un médecin oignant, , mot composé de , médecin, et , je oins ; cette méthode de traitement s'appela , ïatroliptique. Ce fut, au rapport de Pline, liv. XXIX. ch. j. Prodicus, natif de Sélymbria, et disciple d'Esculape, qui mit ce genre de médecine en usage.
- Clics : 1728
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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Gymnastique
On mettait ces sortes d'exercices au rang des gymnastiques médicinaux, parce que le combattant luttait de la tête et des talons, ou avec des gantelets contre une ombre. Il doit, dit Oribase, se servir non seulement de ses mains, mais encore de ses jambes, en luttant avec une ombre, se mettre quelquefois dans l'attitude d'un homme qui saute et qui se jette sur son adversaire, et faire usage de ses talons comme un lutteur ; tantôt il doit s'élancer en devant, et tantôt se retirer comme forcé par un adversaire plus fort que lui.
- Clics : 1163
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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Gymnastique
- Clics : 1498
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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Gymnastique
- Clics : 1290
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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Gymnastique
Quoiqu'entre les divers exercices où l'on se servait de balles, il y en eut plusieurs qu'on ne pouvait pratiquer qu'en plein air et dans les endroits les plus spacieux des gymnases, tels qu'étaient les xystes, xysta, ou les grandes allées découvertes ; on ne laissait pas chez les Grecs de construire dans ces gymnases quelques pièces convenables à certaines espèces de sphéristiques.
- Clics : 1361