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entrer dans la composition des bouillons, non-seulement le bœuf, le veau, et le mouton, mais aussi différentes especes
d'oiseaux, telles que les poules, chapons et autres. On en fait aussi avec le poisson.
Le bouillon sert à l'homme, comme aliment ordinaire et comme remède.
Quand on emploie les bouillons comme remèdes, on y joint ordinairement des plantes, dont la vertu est appropriée à l'état de
la personne qui en fait usage; et alors on les nomme bouillons médicamenteux: il y en a d'altérants, de pectoraux, d'apéritifs,
&c. et on leur donne ces différents noms, selon la vertu des différents médicaments qui entrent dans leur composition. Les
bouillons les plus propres à nourrir sont ceux qui sont composés de bœuf et de volaille. Voyez Bœuf. Au défaut de ceux-ci,
on donne ceux de veau et de mouton.
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- Écrit par : Urbain de Vandenesse (N)
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- Écrit par : Louis-Jacques Goussier (D)
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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Médecine
Définition. La colique parait tirer son nom de la douleur dans l'intestin colon ; cependant ce mot désigne en général toute douleur intérieure du bas-ventre. On aurait pu ne nommer colique, que la douleur du colon, comme on nomme passion iliaque, celle qui attaque les intestins grêles ; mais l'usage en a décidé autrement : néanmoins les douleurs de l'estomac, du foie, de la rate, des reins, de la vessie, de l'utérus, se rapportent aux maladies de ces parties ; et l'on distingue encore de la colique, les maladies qui occupent les téguments de tout l'abdomen.
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