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- Écrit par : Charles Le Roy (T)
- Catégorie : Horlogerie
- Clics : 1550
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- Écrit par : Auteur anonyme
- Catégorie : Horlogerie
Ces horloges sont fort communes en Flandre, on en voit presqu'à toutes les églises ; mais dans ce pays-ci elles sont assez rares. L'horloge de la samaritaine est, je crois, la seule de cette espèce qui soit dans Paris.
Quand aux pendules à carillon, elles sont beaucoup plus en usage en Angleterre qu'ici, où on en fait peu.
Les carillons sont faits sur les mêmes principes que les serinettes ou les orgues d'Allemagne. Dans celles-ci les tons sont formés par des petits tuyaux d'orgue ; dans les carillons ils le sont par des timbres ou des cloches, dont les diamètres doivent suivre exactement le diapason. Voyez DIAPASON, et l'article CLOCHE. Ils ont de même un tambour qui a des chevilles sur sa circonférence, lesquelles, au lieu de lever des touches, comme dans ces orgues, baissent les leviers pour les faire frapper sur les timbres. (T)
- Clics : 2254
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- Écrit par : Charles Le Roy (T)
- Catégorie : Horlogerie
- Clics : 1653
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- Écrit par : Charles Le Roy (T)
- Catégorie : Horlogerie
- Clics : 1640
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- Écrit par : Charles Le Roy (T)
- Catégorie : Horlogerie
- Clics : 1932
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- Écrit par : Charles Le Roy (T)
- Catégorie : Horlogerie
La figure de ce filet ou de cette rainure sert à faire tenir ensemble deux pièces, comme le couvercle du barrillet d'une montre, et sa virole ; la lunette d'une boite de montre, avec la cuvette, quand il n'y a pas de ressort de boite : c'est aussi, par le même moyen, que les deux parties d'une tabatière sans charnière, circulaire ou ovale, bien faite, tiennent ensemble.
- Clics : 2102
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- Écrit par : Charles Le Roy (T)
- Catégorie : Horlogerie
Les artistes distinguent deux sortes d'échappements ; dans les uns, dont l'origine est très-ancienne et même inconnue, la roue de rencontre agit continuellement sur le régulateur, soit pour en accélérer, soit pour en retarder la vitesse : dans les autres, elle n'agit que pour accélérer les vibrations, et non pour les retarder, si ce n'est par les frottements. Les roues et les aiguilles des horloges où les premiers sont employés, ont un mouvement retrograde à chaque vibration, en conséquence de quoi on les a nommés échappements à recul : celles des horloges où l'on fait usage des derniers, ont toujours un mouvement progressif, excepté que chaque vibration est suivie d'un petit repos, ce qui les a fait nommer échappements à repos ; ceux-ci doivent leur naissance à l'invention du ressort spiral et du pendule, et peuvent s'appliquer en général à tous les régulateurs qui font des vibrations sans le secours de la force motrice. Leur disposition est telle, qu'elle ne peut avoir lieu pour les régulateurs, qui, comme le simple balancier, ne font des vibrations qu'à l'aide d'un moteur étranger ; c'est ce que l'on concevra facilement par les descriptions suivantes.
- Clics : 4185
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- Écrit par : Charles Le Roy (T)
- Catégorie : Horlogerie
- Clics : 1488
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- Écrit par : Charles Le Roy (T)
- Catégorie : Horlogerie
- Clics : 1462