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- Catégorie : Pharmacie
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On trouve dans toutes les Pharmacopées un si grand nombre d'onguents officinaux, que le médecin peut se dispenser dans tous les cas d'en prescrire de magistraux. Si l'indication ou le défaut d'onguents officinaux l'y obligeaient pourtant, il pourrait en faire composer facilement d'après cette unique notion de leur essence pharmaceutique ; savoir que pour former un onguent il suffit de mêler ou de faire fondre ensemble différentes matières huileuses, grasses, balsamiques, résineuses, d'une telle consistance ou avec une telle compensation de consistance, que le mélange étant froid ait à-peu-près la consistance du saindoux.
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- Écrit par : Louis de Cahusac (B)
- Catégorie : Pharmacie
Le liniment proprement dit, doit être d'une consistance moyenne entre l'huîle par expression, ou entre le baume artificiel et l'onguent ; et il ne diffère que par cette consistance de ces deux autres préparations pharmaceutiques. Leur composition et leurs usages sont d'ailleurs les mêmes. Ce sont toujours des huiles, des graisses, des résines, des baumes naturels, des bitumes destinés à amollir, assouplir, détendre, calmer, résoudre : et même cette différence unique qui dépend de la consistance, ne détermine que d'une manière fort vague et fort arbitraire, la dénomination de ce genre de remèdes : en sorte qu'on appelle presqu'indifféremment baume, liniment, ou onguent, des mélanges de matières grasses destinés à l'application extérieure, et qu'il importe très-peu en effet de les distinguer.
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