- Détails
- Écrit par : Auteur anonyme
- Catégorie : Grammaire
- Clics : 1087
- Détails
- Écrit par : Denis Diderot (*)
- Catégorie : Grammaire
- Clics : 1314
- Détails
- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Grammaire
Ce qu'on appelle une naïveté, est une pensée, un trait d'imagination, un sentiment qui nous échappe malgré nous, et qui peut quelquefois nous faire tort à nous-mêmes. C'est l'expression de la vivacité, de l'imprudence, de l'ignorance des usages du monde. Telle est la réponse de la femme à son mari agonisant, qui lui désignait un autre époux : prends un tel, il te convient, crois-moi : Hélas, dit la femme, j'y songeais.
- Clics : 1993
- Détails
- Écrit par : Pierre Tarin (L)
- Catégorie : Grammaire
Les voyelles nasales sont celles qui représenteraient des sons dont l'unisson se ferait en partie par l'ouverture de la bouche, et en partie par le canal du nez. Nous n'avons point de caractères destinés exclusivement à cet usage ; nous nous servons de m ou de n après une voyelle simple pour en marquer la nasalité, an ou am, ain ou aim, eun ou un, on ou om. On donne quelquefois aux sons mêmes le nom de voyelles ; et dans ce sens, les voyelles nasales sont des sons dont l'émission se fait en partie par le canal du nez. M. l'abbé de Dangeau les nomme encore voyelles sourdes ou esclavones ; sourdes, apparemment parce que le reflux de l'air sonore vers le canal du nez occasionne dans l'intérieur de la bouche une espèce de retentissement moins distinct que quand l'émission s'en fait entièrement par l'ouverture de la bouche ; esclavones, parce que les peuples qui parlent l'esclavon ont, dit-il, des caractères particuliers pour les exprimer. La dénomination de nasale me parait préférable, parce qu'elle indique le mécanisme de la formation de ces sons.
- Clics : 1696
- Détails
- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Grammaire
- Clics : 1197