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- Écrit par : Edme-François Mallet (G)
- Catégorie : Histoire ancienne
- Clics : 1103
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- Écrit par : Denis Diderot (*)
- Catégorie : Histoire ancienne
- Clics : 1194
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- Écrit par : Edme-François Mallet (G)
- Catégorie : Histoire ancienne
- Clics : 1225
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- Écrit par : Auteur anonyme
- Catégorie : Histoire ancienne
La confarréation était la plus sacrée des trois manières de conférer le mariage, qui étaient en usage chez les Romains : elle était appelée confarréation, du gâteau salé, à farre et molâ salsâ. Cette cérémonie soustrayait une fille à la puissance paternelle : elle ne dura qu'un temps. Quand un mariage contracté par la confarréation se rompait, on disait qu'il y avait diffarréation. On offrait aussi dans la diffarréation le gâteau salé.
- Clics : 1871
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- Écrit par : Antoine-Gaspard Boucher d'Argis (A)
- Catégorie : Histoire ancienne
Ce mot vient de , et de , custodio ; et il signifie garde-chartre ou gardien des titres originaux, soit de la couronne, soit de la ville, soit de l'église. Il était, selon Codin historien de la Byzantine, le juge des grandes causes, et le bras droit du patriarche ; il était de son grand-conseil. Outre la garde des titres dont il était dépositaire, de ceux même qui regardaient les droits ecclésiastiques, il présidait à la décision des causes matrimoniales, et il était juge des clercs. Il rédigeait les sentences et les décisions du patriarche, les signait, et y apposait le sceau. C'était comme le greffier en chef des cours supérieures, et par conséquent un officier très-distingué. Il avait séance avant les évêques, quoiqu'il ne fût que diacre ; il avait sous lui douze notaires ; il assistait aux consécrations des évêques ; il tenait registre de leur élection et consécration, et c'était lui qui présentait le prélat élu aux évêques consécrateurs.
- Clics : 1166