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Encyclopédie de Diderot
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AIGLE-BLANC

Détails
Écrit par : Edme-François Mallet (G)
Catégorie : Histoire moderne
(Histoire moderne) Ordre de Chevalerie en Pologne, institué en 1325 par Uladislas V. lorsqu'il maria son fils Casimir avec la princesse Anne fille du grand duc de Lithuanie. Le roi de Pologne Frédéric Auguste, électeur de Saxe, renouvella l'ordre de l'Aigle-blanc en 1705, afin de s'attacher par cette distinction les principaux seigneurs, dont plusieurs penchaient pour le roi Stanislas. Les Chevaliers de cet ordre portaient une chaîne d'or, d'où pendait sur l'estomac un aigle d'argent couronné.


Création : 28 Juin 1751
Clics : 2333

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ANALABE

Détails
Écrit par : Denis Diderot (*)
Catégorie : Histoire moderne
S. m. (Histoire moderne) partie de l'habillement des moines grecs. L'analabe était en Orient, ce qu'est le scapulaire en Occident ; il était percé dans le milieu d'une ouverture pour passer la tête, et s'ajustait sur les épaules en forme de croix. Analabe vient de , dessus, et de , je prends.

Création : 28 Juin 1751
Clics : 1405

ALEMDAR

Détails
Écrit par : Edme-François Mallet (G)
Catégorie : Histoire moderne
S. m. (Histoire moderne) Officier de la Cour du Grand-Seigneur. C'est celui qui porte l'enseigne ou étendard verd de Mahomet lorsque le Sultan se montre en public dans quelque solennité. Ce mot est composé d'alem, qui signifie étendard, et de dar, avoir, tenir. Ricault, de l'Emp. Ott. (G)

Création : 28 Juin 1751
Clics : 1494

AUBERGE

Détails
Écrit par : Antoine-Joseph Dezallier d'Argenville (K)
Catégorie : Histoire moderne
S. f. (Histoire moderne) lieu où les hommes sont nourris et couchés, et trouvent des écuries pour leurs montures et leur suite. L'extinction de l'hospitalité a beaucoup multiplié les auberges ; elles sont favorisées par les lois à cause de la commodité publique. Ceux qui les tiennent ont action pour le payement de la dépense qu'on y a faite, sur les équipages et sur les hardes ; pourvu que ce ne soient point celles qui sont absolument nécessaires pour se couvrir. Les hôtes y doivent être reçus avec affabilité, y demeurer en pleine sécurité, et y être fournis de ce dont ils ont besoin pour leur vie et celle de leurs animaux, à un juste prix. Les anciens ont eu des auberges comme nous. Les nôtres ont leurs lais, dont les principales sont de n'y point recevoir les domiciliés des lieux, mais seulement les passants et les voyageurs ; de n'y point donner retraite à des gens suspects, sans avertir les officiers de police ; de n'y souffrir aucuns vagabonds, gens sans aveu, et blasphémateurs, et de veiller à la sûreté des choses et des personnes. Voyez le traité de la Police, p. 727. Dans la capitale, l'aubergiste est encore obligé de porter sur un registre le nom et la qualité de celui qui entre chez lui, avec la date de son entrée et de sa sortie, et d'en rendre compte à l'inspecteur de police. Il y a des auberges où l'on peut aller manger sans y prendre sa demeure. On paye à tant par tête, en comptant ou sans compter le vin ni les autres liqueurs.


Création : 28 Juin 1751
Clics : 1638

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ARPA EMINI

Détails
Écrit par : Edme-François Mallet (G)
Catégorie : Histoire moderne
S. m. (Histoire moderne) officier du grand-seigneur ; c'est le pourvoyeur des écuries : il est du corps des mutaferacas ou gentilshommes ordinaires de sa hautesse. A la ville il reçoit l'orge, le foin, la paille et les autres fourrages d'imposition ; à l'armée ils lui sont fournis par le deflerdard ou grand trésorier qui a soin des magasins. L'arpa emini en fait la distribution aux écuries du sultan et à ceux qui en ont d'étape ; ses commis les délivrent et lui rendent compte du bénéfice, qui est quelquefois si considérable, qu'en trois ans d'exercice de cette charge il se voit en état de devenir bacha par les voies qui conduisent ordinairement à ce grade, c'est-à-dire par les riches présents faits aux sultanes et aux ministres. Guer. Mœurs des Turcs, tom. II. (G)

Création : 28 Juin 1751
Clics : 1387
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