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- Écrit par : Antoine-Gaspard Boucher d'Argis (A)
- Catégorie : Grammaire & Jurisprudence
- Clics : 1395
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- Écrit par : Antoine-Gaspard Boucher d'Argis (A)
- Catégorie : Grammaire & Jurisprudence
- Clics : 1218
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- Écrit par : Antoine-Gaspard Boucher d'Argis (A)
- Catégorie : Grammaire & Jurisprudence
Le terme d'usurier ne se prend jamais qu'en mauvaise part.
On appelle usurier public, celui qui fait métier de prêter à usure.
Les ordonnances de Philippe le Bel en 1311 et 1313, celle de Louis XII. en 1510 et de Charles IX. en 1567, ont défendu le prêt à usure.
- Clics : 4736
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- Écrit par : Antoine-Gaspard Boucher d'Argis (A)
- Catégorie : Grammaire & Jurisprudence
On qualifie d'usurpateur, non-seulement celui qui s'empare induement d'un fonds, mais aussi tous ceux qui s'emparent de quelque droit qui ne leur appartient pas.
Ainsi celui qui prend le nom et les armes d'une famille dont il n'est pas issu, est un usurpateur.
De même celui qui n'étant pas noble, se qualifie d'écuyer ou de chevalier, est un usurpateur de noblesse.
- Clics : 1370
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- Écrit par : Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie : Grammaire & Jurisprudence
USURPATION, (Gouvernement) envahissement injuste de l'autorité, sans en être revêtu par les lois.
Comme une conquête peut être appelée une usurpation étrangère, l'usurpation du gouvernement peut être nommée une conquête domestique, avec cette différence qu'un usurpateur domestique ne saurait jamais avoir le droit de son côté, au lieu qu'un conquérant peut l'avoir, pourvu qu'il se contienne dans les bornes que la justice lui prescrit, et qu'il ne s'empare pas des possessions et des biens auxquels d'autres ont droit.
- Clics : 1340